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LA CITE DE LAITON : une fantasy orientale


Désert brûlant, guerre de clans, et pouvoirs cachés : bienvenue à Daevabad, la cité de laiton.


Nahri est une arnaqueuse. Une débrouillarde, prête à quelques mensonges bien tournés pour parvenir à ses fins. Sauf que quand elle se lance dans un rituel pour chasser un esprit, elle invoque par erreur un autre – un guerrier mythique qui l’oblige à quitter le Caire et à s’enfoncer dans un terrain inconnu : celui de créatures pas toutes ravies de son arrivée…


Mon avis lecture :


✨ Est-ce qu’il y a des livres qui vous ont plu parce que vous les avez picoré à petite dose ? Ça a été mon cas avec ce premier tome.


Au début du roman, j’étais perdue, le texte me demandait de la concentration, mais j’y retournais, un chapitre par-ci par-là, pour le plaisir du voyage. Et la magie a pris. Dans le feu de l’action finale, j’ai dévoré les 100 dernières pages en une après-midi.


La richesse de l’univers m’a parfois impressionnée, parfois embrouillée, mais j’étais stimulée par le fait d’élargir ma représentation de la fantasy avec une mythologie non européanocentrée.


Par contre, sorry not sorry pour les fans de Dara, mais pour moi, c’est un grand NON. Même beau, un tueur reste un tueur.

Faut-il lire "La cité de laiton" ?


🌜Les bons côtés :

  • Une mythologie faite de marid, de péris, d’efrits, de djinns que l’on croise trop peu

  • Une héroïne qui n’est pas mignonne et lisse ; Nahri a du tempérament, et c’est tant mieux.


⚡️ Les moins bons côtés :

  • La complexité de l’univers fait perdre du rythme. Le glossaire à la fin du roman n’est pas de trop.

  • Quelques tropes courants : l’héritière cachée, un triangle amoureux…


Ce dont on peut s’inspirer en tant qu’auteur :


  • Chercher de l’inspiration au-delà des mythologies dominantes.


Et vous ? Vous l'avez lu ?

La suite vaut-elle le coup ?

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