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LE FOU ET L'ASSASSIN 1/2


J'ai accompagné Fitz une dernière fois dans ses aventures et maintenant que j'ai terminé toute la saga, il faut bien que j'écrive mon avis - même si cela refait éclore le sentiment de nostalgie que j'ai eu en terminant la toute dernière page, du tout dernier chapitre, du tout dernier livre... Bon, je crois que je vais rester synthétique, déjà pour ne rien spoiler à ceux qui ne seraient pas encore arrivé à ce dernier cycle, et puis parce que c'est étrangement difficile pour moi de parler de ces livres.


J'ai trainé avant d'entamer Le Fou et l'Assassin, pris un peu de distance après avoir enchaîné avec appétit les premiers tomes comme les sagas parallèles telles que les Aventuriers de la Mer ou les Cités des Anciens (et je peux vous dire qu'il vaut mieux les lire avant de s'engager dans cet ultime cycle, si vous voulez pouvoir en savourer les moindres détails... mais je vous en parlerai dans mon post sur les derniers tomes). Ces trois premiers livres ont été un festival d'émotions pour moi : voir Fitz enfin vivre serein, puis affronter de nouveaux malheurs, puis vivre encore de grands moments... Dès le premier tome, j'ai pleuré, tout comme dans le troisième, une fois de tristesse, une fois de joie. L'autrice a su taper juste, me cueillant lors de scènes que je ne pense pas oublier.


Certains éléments de l'intrigue me paraissaient tellement évidents que j'ai quelques fois eu envie de secouer Fitz pour lui ouvrir les yeux, et à d'autres moments, Robin Hobb a réussi à me surprendre, jouant à me faire tourner en bourrique.


Fitz démarre dans ce cycle une autre tranche de sa vie, et le personnage évolue avec une telle cohérence qu'on peinerait à croire qu'il n'existe pas réellement. La magie de l'autrice fonctionne toujours autant, et jamais je n'ai eu la sensation que c'était le "cycle de trop". Bref, magistral, comme toujours. Mais à force vous connaissez mon admiration pour ces ouvrages extraordinaires.

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